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Channel: Le Bourdonnec
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Blend – Le Burger gourmet

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L’Hôtellerie Restauration  - article du 17 septembre 2013

« Paris (75) Après une première adresse parisienne rue d’Argout dans le deuxième arrondissement, Blend vient d’annoncer l’ouverture d’une seconde boutique avec terrasse à Paris. Victor Garnier, le fondateur de Blend poursuit donc son partenariat avec le boucher de renom Yves-Marie Le Bourdonnec pour proposer une sélection de 9 burgers fait maison (Salmon, Smoke, Herbs…) à 10 € pièce. La formule du déjeuner en semaine à 15€ comprend un hamburger, des frites et une boisson soft. Ouvert… » Lire la suite


Sélectionner l’élevage

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Sélectionner l’élevage :
la recette Le Bourdonnec pour
une viande de qualité :

Pour garantir au consommateur une viande de qualité, il faut une vraie collaboration entre l’éleveur et le boucher. La volonté de l’entreprise Le Bourdonnec : valoriser la relation directe avec des éleveurs ouverts et prêts à revoir leurs habitudes, et leur proposer des prix qui correspondent à la qualité de leur travail et de leur viande.

Pour un boucher engagé proposer une bonne viande, c’est plus qu’une affaire de goût.
C’est défendre une forme d’élevage :

Équitable, où l’animal est heureux et élevé avec le souci permanent de son bien être, écologique, où l’animal se nourrit du paysage qui l’entoure et des productions de la ferme, rentable pour l’éleveur, car il gagne bien sa vie, sans dépendre des subventions européennes.

Une viande tendre, c’est un bon équilibre en gras et une faible teneur en collagène. Comme le taux de collagène augmente avec l’âge de l’animal, on parvient à ce résultat par des croisements avec des races précoces, qui arrivent à l’âge adulte plus tôt, entre 20 à 24 mois, contre 40 pour une charolaise.

C’est plus une affaire de croisement que de nourriture, l’idéal étant toujours de privilégier les races locales. Il y a une solution à trouver pour chaque terroir d’élevage. Nous sommes en phase d’expérience et testons de nouveaux croisements.

Yves-Marie Morault ferme du Lihut à Saint-Saëns en Seine-Maritime (Normandie)

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C’est l’un des meilleurs éleveurs de Blonde d’Aquitaine en France, il a remporté de nombreux concours agricoles.  Sur mon conseil, il s’est lancé depuis peu dans un élevage qui correspond plus à son « paysage » : de la prestigieuse Angus en provenance d’Angleterre. Avec l’Angus, il fait dans l’excellence !

« Yves-Marie, c’est quelqu’un qui a beaucoup de bon sens et une approche simple de son métier . Il recherche des animaux qui sont élevés au plus près de la nature, sans recourir à des solutions d’engraissement. Nous avons une relation basée sur l’amitié et la confiance. Il respecte les éleveurs et il sait payer le vrai prix pour une viande de qualité. »YM.M

Guillaume Deslandesla Ville André à Ménéac dans le Morbihan (Bretagne)

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C’est un jeune éleveur qui a repris la ferme de son père en Bretagne. On se correspond. Il s’est lancé dans la Hereford, la race la plus précoce au monde, qu’il croise régulièrement avec ses Blondes d’Aquitaine. On fait des essais ensemble sur de nouveaux croisements.

« C’est un boucher qui sait ce qu’il veut. Il vous aide à vous professionnaliser. »G.D

Pierre BouchezLes viandes du Châteauneuf, à Audincthun, dans le Pas de Calais

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Cet ancien maquignon a créé, il y a 20 ans, une ferme où il élève de la Limousine. Il a installé un atelier de découpe et s’est lancé dans la vente directe sur les marchés bio. Pour consolider son entreprise et faire face à la flambée du prix des céréales, je lui ai conseillé des races anglaises, plus adaptées à ses pâturages car il n’est pas loin de l’Angleterre. On a acheté ensemble un lot 50 jeunes bœufs anglais.  Et ça marche ! Avec son fils Franck qui est vétérinaire, il a donc décidé de réfléchir à la suite.

« Je suis hyper heureux de collaborer avec un grand pro comme lui ! Il a parfaitement analysé le besoin des éleveurs de sécuriser la production en amont pour faire une viande parfaite. Nous mettons en commun nos compétences pour arriver à un produit au summum du goût et de la saveur, et ceci dans le cadre d’une filière courte et sécurisée, puisque l’abattage se fait chez moi et nous livrons en direct. C’est un investissement moral et financier de part et d’autre, car Yves-Marie investit des capitaux dans les bœufs en production et nous, on met tout notre savoir-faire à réaliser des viandes juteuses et goûteuses pour lui, sans chercher d’autres débouchés. »P.B

La Bazadaise de Bérénice WALTON - Lieu dit Graney – Arveyres (Gironde)

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La vache bazadaise a un grain de viande superbe, c’est un produit de niche, c’est notre Angus française. Historiquement, c’était une vache de travail, utilisée dans les vignes, car elle est fine et peut se faufiler entre les rangs.  Le vigneron la bichonnait, la nourrissait à l’auge, puis les tracteurs sont arrivés … Aujourd’hui cette production est presque abandonnée, car peu valorisée par les bouchers qui lui préfèrent la Blonde d’Aquitaine, plus rentable. Bérénice m’a contacté pour me remercier d’avoir défendu la vache bazadaise à la télévision. Cette jeune agricultrice élève de la Bazadaise à l’ancienne, dans le pur respect de la tradition.

« C’est un vrai boucher, il ne fait pas que vendre des morceaux de viande, il travaille la matière première qu’on lui produit. On est complémentaires, on échange beaucoup, sur les animaux, la viande et sur tout ce qui va autour. »B.W

L’Aubrac de Francis Girbal – Montpeyroux, près de Laguiole (Aveyron). FrancisGirbal

Je l’ai rencontré à l’occasion du film Global Steak.  Francis est quelqu’un d’ouvert, il aime bien échanger.  Il me vend deux vaches par mois, des Aubrac bien engraissées, qu’il affine pour moi. C’est une vache rustique et robuste, autrefois utilisée pour le travail et qu’on envoyait en transhumance l’été dans la montagne. Elle produit peu de lait, mais assez pour allaiter correctement ses veaux.

« Il aime bien savoir comment ont été élevés les animaux, ce qu’ils ont mangé… Il communique la-dessus avec le consommateur : « Cette viande, elle vient de chez Francis, elle a été élevée comme ça… ». Avec Yves-Marie, on s’entend très bien, ce sont des relations basées sur la confiance.»F.G

La Parthenaise de Marcel Proux  – Le Petit Pré - Fresnay en Retz (Loire-Atlantique)marcelProux

C’est une vache originaire de la région de Parthenay dans les Deux-Sèvres, entre Angers et Poitiers. C’est elle qui a fait jadis la réputation du beurre du Poitou-Charentes.  Actuellement, elle est plutôt élevée pour ses qualités bouchères. Elle ressemble à l’Aubrac, avec une viande très fine et peu grasse. Avec Marcel, la relation est simple et je lui achète ses animaux au bon prix.

« C’est quelqu’un de sérieux et qui essaie toujours d’évoluer dans le bon sens. Il joue le jeu, il essaie de réduire le circuit au maximum, travailler avec les producteurs et commercialiser directement. Comme ça, on valorise mieux notre produit et pour lui c’est bien aussi. » M.P

Thierry Chouteau et Sylvain LoizeauGaec La vallée verte – St Christophe du Bois (Maine-et-Loire)YMmorault1

Les deux jeunes éleveurs m’ont contacté pour me proposer de travailler sur un nouveau croisement Angus – Simmental. En effet, ce type de viande est selon moi la définition d’un bon produit, pauvre en collagène par la précocité de l’Angus et avec un bon équilibre de gras par la Simmental.

« Nous aimons la perception qu’Yves-Marie a d’une bonne viande, son travail avec les éleveurs, la mise en valeur d’un produit qu’il ne dénature pas. Nous nous reconnaissons dans la philosophie du boucher qui travaille main dans la main avec l’éleveur. » T.C

 

Comment retrouver le vrai goût de la viande?

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Le Monde – article du 09.07.13 Comment retrouver le vrai goût de la viande?
par Yves-Marie Le Bourdonnec (Boucher) et Marie Aline (Journaliste)

« Martine court dans les prés verts et tendres. Quelques charolaises la regardent. Mais la voilà qui trébuche. Les vaches ne cillent pas. Elles assistent pourtant au vacillement du mythe de Martine à la ferme. Car, tandis que l’entreprise Spanghero est toujours à l’arrêt, à cause du scandale de la viande de cheval revendue pour du boeuf, les cantines servent… » Lire la suite

Yves-Marie : de la ferme au billot

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LE DÉBUT D’UNE VOCATION

Un boucher qui adore les animaux, une vocation précoce et assumée, sa première boucherie bien à lui à l’âge où les autres passent le bac, c’est tout Yves-Marie Le Bourdonnec ! Et aujourd’hui, s’il est l’un des plus grands, c’est que sa passion du métier et de la qualité ne l’a pas quitté et rayonne bien au-delà des frontières.

Ma relation à l’animal : J’ai très jeune intégré ma relation à l’animal : celui que j’aime, celui qui me rend service, celui dont je me nourris.“l’animal a une utilité pour l’homme” : il a un rôle identifié. Il accompagne l’homme dans sa vie.  Il a le droit de bien vivre.

Ma première rencontre avec les animaux, c’est à l’âge de 8 ans, à la ferme de mon oncle dans les côtes d’Armor. Il adorait les animaux, il m’a tout expliqué  sur eux. Il faut s’en occuper, leur faire avoir des petits, les élever dans un but précis :  les vendre ou faire du lait, ou encore de la viande pour sa propre consommation, et gérer le cheptel de la ferme.

« A 10 ans , je découvre les gestes d’un boucher. Je suis fasciné. Je veux en faire mon métier . »

Un boucher venait à la ferme 2 fois par an. Le jour de sa visite était un jour sacré pour moi, presque mystique. Il s’y prenait vraiment bien. C’était spectaculaire de le voir tuer un bœuf.  Je le regardais, fasciné. Je voulais voir tous les détails, les gestes, la découpe.

C’est ainsi qu’à 10 ans j’ai dit que je voulais devenir boucher.  « Toi, boucher ? Alors que tu as déjà du mal à supporter l’idée que l’animal que tu élèves et auquel tu t’attaches, tu dois le vendre une fois sevré ! Il faut vraiment que tu comprennes les coulisses du métier et que tu t’y confrontes dans la réalité et sans état d’âme. »

UNE HISTOIRE DE TRANSMISSION

Être boucher, c’était quelque chose que j’avais en moi. Sans pouvoir l’expliquer…Être boucher, c’est assumer le métier d’un bout à l’autre, abattage compris.

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* En recherchant mes origines du coté de ma mère, j’apprends que tous les hommes de sa famille étaient boucher ou maquignon de père en fils. C’est pour moi une révélation, le signe que je dois aller encore plus loin dans cette profession.A 16 ans,  mon CAP en poche,  je me frotte au terrain.

Deux mois de boucherie en grande surface avec un patron aigri me font vite déchanter.Je veux changer de métier et devenir éleveur de chevaux . Mon oncle ne l’entend pas de cette oreille. Il m’envoie à Paris en aller simple pour y trouver du travail. 

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Le plus jeune boucher – entrepreneur en Ile de France

Je suis d’abord embauché par M. Besloy, boucher à Levallois-Perret.  C’est une expérience géniale :  je suis logé et nourri (fort bien !),  et comme je suis passionné, je bosse comme un dingue ! Puis j’intègre la boucherie de M. Poulet à Asnières,  qui me donne de vraies responsabilités :  gérer les commandes, les approvisionnements de viande .  Comme il cherche à vendre sa boucherie, je décide de la racheter.  J’ai 17 ans ½ ! Et c’est ainsi qu’en septembre 1987 , après avoir convaincu la banque, je me retrouve propriétaire de ma première boucherie à Asnières…j’ai 19 ans . C’est le Couteau d’Argent.

Les premiers articles de presse :

articles presse

Une dégustation à l’aveugle me propulse Meilleur Boucher de Paris !  Je me retrouve premier ex aequo sur 100 bouchers,  avec une note de 18,5 / 20 pour une entrecôte limousine, à la traçabilité parfaite et au prix de vente étudié . Ce sont les prémices de ma visibilité dans la presse !

En 2007, Yannick Alléno me demande une  recette de burger de type « palace » pour le restaurant qu’il vient d’ouvrir à l’Hôtel Meurice.  Je lui fournis une idée de burger non haché, coupé au couteau, avec un muscle et un gras de panoufle bien maturés, bien goûteux. Comme des billes de viande qui explosent en bouche…

 

Paris 18ème – Timothée, le boucher sachant trancher

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Blog de Gilles Pudlowski- 3 octobre 2013

« Nouvellement installé (en septembre 2013) dans une boutique moderne rénovée à l’ancienne, Timothée Sautereau a le look du jeune premier. Homme heureux et heureux homme dans un métier qui perd chaque jour ses artisans pour ne pas susciter, à tort, une naturelle vocation chez les jeunes. Après une école de commerce et divers métiers dont la stratégie média, cette reconversion réussie est née autant de la passion de la chasse que du plaisir de découper et transformer les gibiers…. » Lire la suite

Découvrez la nouvelle boucherie de Timothée dans Paris 18ème

Semaine du Goût 2013

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Yves-Marie Le Bourdonnec est choisi pour représenter la France du 14 au 20 Octobre pour la 24ème édition de la Semaine du Goût 2013 en Chine et au Japon pour y promouvoir le savoir faire gastronomique français.

semaine du gout

Paris 6ème – YM Le Bourdonnec

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YM LE BOURDONNEC – PARIS 6EME
43 Rue du Cherche-Midi 75006 Paris
Tél : 01 42 22 35 52

Métro ligne 4 – Saint Placide
Métro ligne 12 - Rennes
Métro ligne 10 et 12 – Sèvres Babylone

Horaires d’ouverture :
du mardi au samedi de 09h à 13h
et de 15h30 à 19h30

Paul de Monteynard, boucher
& responsable boutique

« Avec cette adresse d’à peine 15m2, j’ai souhaité ouvrir une boucherie précieuse, exceptionnelle, esthétique comme une déclaration d’amour à la viande et au métier de boucher. En reprenant cette boucherie de quartier, j’ai voulu encore une fois mettre la maturation au cœur d’un espace ouvert et visible de l’extérieur exposant les trains de côtes maturées comme des robes dans la vitrine d’un créateur »

Dans cette nouvelle boucherie dont la façade d’origine a été conservée, les lignes épurées laissent place aux côtes de bœuf, volailles, préparations maison et autres joyaux made in Le Bourdonnec, le tout dans un décor noir et cuivre.

Véritable « écrin » à viandes, l’espace a toutefois conservé les attributs fonctionnels d’une boucherie traditionnelle mais souligne la démarche particulière d’Yves-Marie : la travail en direct avec des éleveurs et l’échange continuel entre le boucher et ses producteurs. Ici ces paysans sont présentés, affichés même, comme des ambassadeurs d’une agriculture fière de ses valeurs et de son terroir.

À la tête de cette nouvelle adresse, Paul de Monteynard, qui a officié trois ans entre Asnières et Lamartine. Il est secondé par Yann Le Bourdonnec, le fils ainé d’Yves-Marie, tout juste diplômé de son certificat de qualification professionnelle.

SUGGESTIONS POUR VOS FETES


Joy Sorman & Yves-Marie Le Bourdonnec

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Emmanuel Giraud invite, le jeudi 16 janvier à 19h, Joy Sorman, écrivain et Yves-Marie Le Bourdonnec, boucher-bohème, pour une rencontre littéraire autour de la viande. Il y sera question de chair et de chère, de saveurs et de savoirs, d’apprentissage et de rites initiatiques, de l’art de la découpe et de sensualité carnassière…

- « Comme une bête », Joy Sorman, Gallimard, 2012.

- « L’Effet boeuf », Yves-Marie Le Bourdonnec, Michel Lafon, 2012.

***

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

La rencontre sera suivie d’une dégustation et d’une séance de dédicace.

Restaurant Le Relais
61 rue Victor Hugo
93500 Pantin
(M)(5) Église de Pantin

***

(Rencontre organisée dans le cadre du programme « Ecrivains en Seine-Saint-Denis »)

 

Simmental-Angus ou l’accord parfait

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Les deux jeunes éleveurs du Maine-et-Loire, Thierry Chouteau et Sylvain Loizeau, travaillent autour du croisement de la race britannique Angus avec la Simmental, en exclusivité pour les boucheries YM Le Bourdonnec.

« Nous sommes éleveurs de Blondes d’Aquitaine en système conventionnel mais notre philosophie agricole s’oriente vers un système herbager valorisé par des races rustiques type Simmental-Angus »

Cette envie de produire le plus naturellement possible s’est renforcée lors d’expériences professionnelles à l’étranger, notamment en Suisse avec la conduite de troupeaux Angus en alpages. Les prairies du GAEC de la Vallée Verte situées au coeur du bocage se prêteront parfaitement à ce type d’élevage.

Depuis leur rencontre avec Yves-Marie, Thierry et Sylvain procèdent petit à petit à une reconversion d’une partie de leur élevage. Il est donc prévu d’acheter 45 mères Simmental pour les croiser avec la race Angus.
Objectif ? Proposer 50 sujets par an à Yves-Marie Le Bourdonnec à partir de 2017.

« Les Blondes d’Aquitaine sont trop coûteuses en céréales, c’est aussi pour nous une façon de valoriser les prairies et de travailler sur un mode plus naturel. De plus, nous sommes les premiers en France à mettre en place ce type de croisement. »

La rusticité et la précocité de l’Angus associés au taux de matière grasse élevé et riche en protéines de la Simmental permettront une croissance plus rapide des bêtes. L’idée est donc de réunir les qualités de ces deux races afin d’augmenter le poids de l’animal tout en conservant le persillage, la tendreté et la rougeur de la viande.

Facebook – Boucheries Le Bourdonnec

Suivez-moi sur twitter

Se former et collaborer

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MASTERCLASS – COURS DE DÉCOUPE

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Séance de 2h avec Yves-Marie Le Bourdonnec, en chair en et os !

Vous voulez tout savoir des règles de l’art de la découpe ?
Vous avez envie de vivre 2 heures dans la peau d’un(e) boucher(e) ?
Vous êtes à la recherche d’un cours de découpe de viande dispensé par Yves-Marie Le Bourdonnec ?

Yves-Marie Le Bourdonnec, artisan boucher émérite transmet l’essence de sa pratique lors d’un cession unique et originale. A ses côtés, venez-vous initier à l’art de la découpe de la viande

3 thèmes au choix:
- Découpe et préparation de l’agneau
- Préparation de la longe du Noir de Bigorre
- Désossage d’un quartier de boeuf

Réservation 2 semaines à l’avance et plannings disponibles, pour une à deux personnes maximum.

Contact, lieux et conditions d’inscription auprès de : clarisse@mottainaylb.com

 

devenir_boucherVous voulez devenir boucher ?
Vous êtes chef ou restaurateur, et vous souhaitez perfectionner votre art de la viande ?
Vous avez un projet de création ou de reprise d’activité dans la production et le service de viandes de qualité ?

Après avoir réinventé son métier, Yves-Marie Le Bourdonnec transmet son savoir-faire à de nouvelles générations de passionnés qui veulent s’engager dans un production et une consommation de viande raisonnées.
Avec son équipe et à travers l’entreprise Mottainaï, il prodigue un enseignement hors pair à partir d’une philosophie pratique et culturelle du métier à la fois réaliste, concrète, fructueuse et pérenne.

Ils mettent l’accent sur l’importance du geste parfait, sur le souci de rentabilité d’une carcasse animale entière et la réelle maîtrise d’une stratégie commerciale en redonnant à la viande toute la valeur et le respect qu’elle mérite.

Demandez notre brochure :
clarisse@mottainaylb.com

 

VOUS VOULEZ FAIRE PARTIE DE NOTRE FILIÈRE D’ÉLEVAGE ?

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Le contrat exclusif avec la maison Le Bourdonnec assure alors un achat de volume à l’année et la garantie de débouchés commerciaux

Demandez notre brochure :
clarisse@mottainaylb.com

VOUS VOULEZ GOÛTER NOS VIANDES SERVIES SUR DE BONNES TABLES ?

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Contact :
clarisse@mottainaylb.com

fulgurance    blend    daloyau

«Cultivons la viande que nous aimons»

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L’expression japonaise « Mottai-naï ! » exprime les valeurs de l’entreprise : le respect et la reconnaissance des aliments issus de la Nature, ainsi que des personnes qui les produisent et les pourvoient.

Créée en 2014, MOTTAINAÏ est une entreprise destinée à accompagner les éleveurs vers de nouvelles filières durables, former les aspirants-bouchers et fédérer les acteurs internationaux de la filière viande autour
des savoir-faire.

Notre  pédagogie rend plus rationnel et vertueux le cycle de transformation et de consommation de la viande, de l’animal vivant à la table de dégustation.


Notre Manifeste « Cultivons la viande que nous aimons » est l’expression de ce constat et résume notre intention de poser les fondements d’un autre rapport à l’art de la viande, responsable et durable :

« Redonnons de la valeur à nos paysages. Remettons le bétail dans les prés.
Affranchissons-nous des subventions européennes.
Aidons les éleveurs à rentabiliser leurs cheptels et à vivre de leur métier.
Pas de bonne viande sans animal heureux.
Stop à l’élevage intensif !
Explorons la diversité des races de vaches françaises.
Encourageons les races mixtes. Apprenons à aimer les taureaux anglais pour leur précocité.
Mangeons plus de boeuf et moins de vaches.
Laissons le veau sous la mère et non à l’abattoir.
Carnivore et écolo : mangeons moins mais mieux.
Réhabilitons le gras, le bon gras qui donne le goût.
Une maturation dans les règles de l’art, maîtrisée par conviction et non par effet de mode.
Mottai-naï ! Soucions-nous de l’histoire de l’animal que l’on va manger et de celles et ceux qui le produisent jusqu’à l’assiette.
La boucherie est un très beau métier.
Elle a besoin de talents. De tous horizons et cultures »

Découvrez l’intervention d’Yves-Marie au dernier TED X Paris

Revue de presse 2015

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Au TEDX Paris 2015, la viande fait sa Révolution

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« Nous devons repenser toute la filière ! Identifier et former les acteurs de celle-ci, de l’éleveur au consommateur en passant par les bouchers,  pour mieux prendre conscience de notre condition de carnivore… Nous ne pourrons plus cultiver et consommer de la viande sans en comprendre la destination ou les conséquences de nos actes sur l’environnement. »

Yves-Marie Le Bourdonnec a été invité à s’exprimer à la dernière édition de TEDxParis le 1er Novembre 2015 au théâtre du Châtelet, sur le thème des [R]évolutions françaises. L’occasion aussi pour lui d’annoncer la création en 2016 du Centre de formation Mottainaï, aux côtés de Clarisse Prévost.

Découvrez l’intervention d’Yves-Marie au dernier TED X Paris


TED-X-PARIS


Le Bourdonnec en librairie

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Le Bourdonnec12 portraits de producteurs et d’artisans, un long entretien avec Yves-Marie Le Bourdonnec qui revient sur son histoire, sa passion et ses engagements en tant que « boucher fédérateur », des recettes, un carnet d’adresses et deux DVD « Steak Revolution » et « Résistance naturelle ».

39,99 euros au rayon DVD de la FNAC et sur fnac.com

DALLOYAU et Yves-Marie Le Bourdonnec

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A Noël, partage d’expériences et de savoirs avec DALLOYAU

« Je suis très heureux d’avoir pu participer à cette création gastronomique pour les fêtes de Noël 2015, en partenariat avec l’excellent Pierre Koch, Chef cuisinier de la maison Dalloyau ! » Yves-Marie Le Bourdonnec

Deux recettes exclusives à découvrir en suivant ces liens :
Train de côtes Le Bourdonnec
Creux des reins Le Bourdonnec

Suggestions pour vos fêtes

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Une fois sélectionnées chez nos éleveurs, nos viandes sont travaillées avec art et passion, et présentées par nos équipes dans les boucheries Le Bourdonnec. Venez nous rencontrer dans nos boutiques où nos artisans bouchers sauront vous conseiller spécialement pour les fêtes !

Côté volailles, découvrez aussi nos éleveurs et notre sélection pour les repas de fêtes.

LE BOURDONNEC MENU 2015

Sélectionner l’élevage

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Sélectionner l’élevage :
la recette Le Bourdonnec pour
une viande de qualité :

Pour garantir au consommateur une viande de qualité, il faut une vraie collaboration entre l’éleveur et le boucher. La volonté de l’entreprise Le Bourdonnec : valoriser la relation directe avec des éleveurs ouverts et prêts à revoir leurs habitudes, et leur proposer des prix qui correspondent à la qualité de leur travail et de leur viande.

Pour un boucher engagé proposer une bonne viande, c’est plus qu’une affaire de goût.
C’est défendre une forme d’élevage :

Équitable, où l’animal est heureux et élevé avec le souci permanent de son bien être, écologique, où l’animal se nourrit du paysage qui l’entoure et des productions de la ferme, rentable pour l’éleveur, car il gagne bien sa vie, sans dépendre des subventions européennes.

Une viande tendre, c’est un bon équilibre en gras et une faible teneur en collagène. Comme le taux de collagène augmente avec l’âge de l’animal, on parvient à ce résultat par des croisements avec des races précoces, qui arrivent à l’âge adulte plus tôt, entre 20 à 24 mois, contre 40 pour une charolaise.

C’est plus une affaire de croisement que de nourriture, l’idéal étant toujours de privilégier les races locales. Il y a une solution à trouver pour chaque terroir d’élevage. Nous sommes en phase d’expérience et testons de nouveaux croisements.

LA SALANGUS de Samuel Fouilliard Le Plessier Huleu- l’Aisne

YMmorault

LA SALERS, sélectionnée à l’origine pour le travail, c’est une race de grand format, très charpentée, ce qui en fait une bonne mère, avec peu d’accidents de vêlage, y compris dans des conditions de vie rustiques. La Salers est une race qui est semblable à l’Aubrac pour sa rusticité et moins influencée par le modèle de sélection bovine français. Utilisée pure elle fournit une viande de bonne qualité, bien persillée et avec un bon volume carcasse. Utilisée en croisement, elle permet d’améliorer le modèle économique de l’éleveur avec la possibilité d’utiliser aussi des mâles pour la production de viande. C’est le fruit d’un de nos élevages partenaires, avec qui nous avons développé le croisement Salers-Angus et dont le résultat est très satisfaisant.

« Après notre rencontre en 2011, nous avons vu naître nos premiers sujets en 2014. Le croisement de vache Salers et taureau Aberdeen-Angus est le meilleur modèle réalisé à ce jour, la référence par excellence de notre maison. »
Yves-Marie Le Bourdonnec

Yves-Marie Morault ferme du Lihut à Saint-Saëns en Seine-Maritime (Normandie)

YMmorault

C’est l’un des meilleurs éleveurs de Blonde d’Aquitaine en France, il a remporté de nombreux concours agricoles.  Sur mon conseil, il s’est lancé depuis peu dans un élevage qui correspond plus à son « paysage » : de la prestigieuse Angus en provenance d’Angleterre. Avec l’Angus, il fait dans l’excellence !

« Yves-Marie, c’est quelqu’un qui a beaucoup de bon sens et une approche simple de son métier . Il recherche des animaux qui sont élevés au plus près de la nature, sans recourir à des solutions d’engraissement. Nous avons une relation basée sur l’amitié et la confiance. Il respecte les éleveurs et il sait payer le vrai prix pour une viande de qualité. »
YM.M

Guillaume Deslandesla Ville André à Ménéac dans le Morbihan (Bretagne)

Deslandes

C’est un jeune éleveur qui a repris la ferme de son père en Bretagne. On se correspond. Il s’est lancé dans la Hereford, la race la plus précoce au monde, qu’il croise régulièrement avec ses Blondes d’Aquitaine. On fait des essais ensemble sur de nouveaux croisements.

« C’est un boucher qui sait ce qu’il veut. Il vous aide à vous professionnaliser. »
G.D

LA MONTBELIARDE de Bruno MartinBrives la Gaillarde (Lot)

Bruno Martin

« La Montbéliarde est une race qui trouve son origine en France, en Franche-Comté. C’est une race très connue pour ses aptitudes laitières et pour la fabrication du Comté. Aujourd’hui la Montbéliarde est de plus en plus appréciée pour la qualité de sa viande bien qu’elle soit le plus souvent conduite en système laitier. »
Bruno Martin sélectionne les vaches qui ont entre 6 et 12 ans selon les exigences de qualité de la maison Le Bourdonnec. Les élevages sont à taille humaine (de 10 à 40 vaches) situés principalement dans la region du Lot.

« La Montbéliarde est une race dotée d’un puissant potentiel pour la production de viande. Les
carcasses de Montbéliarde s’en sortent très bien avec un bon volume, une viande assez grasse mais
bien persillée. Trop peu d’éleveurs choisissent la montbéliarde pour la production de viande, alors que
cela pourrait avoir un débouché porteur. »
Yves-Marie Le Bourdonnec

LA LIMOUSINE d’Antoine GaudyCharente Limousine

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La Limousine est originaire de la région du Limousin à l’Ouest du Massif Central. C’est une race qui à su s’adapter aux conditions de vie difficiles de la région (Climat marqué, relief de montagne…) et
développer des aptitudes de travail des terres remarquables. Elle est considérée comme la plus
rustique des vaches spécialisée en production de viande. C’est une race qui conquit beaucoup de
territoires d’année en année, car elle possède un très bon équilibre entre performances bouchères,
qualités maternelle et facilité d’élevage.

« S’il fallait en retenir une du trio glorieux de la période de recherche au rendement musculaire,
Blonde d’Aquitaine – Charolaise – Limousine, ce serait la Limousine. De ces trois grandes races c’est
la plus équilibré en terme de rendement, rusticité et qualité de la viande. C’est une très bonne base
d’animaux, qu’on peut probablement améliorer en croisement avec des races anglaises. Notamment
pour la valorisation du mâle en boeuf de boucherie. »
Yves-Marie Le Bourdonnec

LA BAZADAISE de Bérénice Walton - Lieu dit Graney – Arveyres (Gironde)

bereniceWalton

La vache bazadaise a un grain de viande superbe, c’est un produit de niche, c’est notre Angus française. Historiquement, c’était une vache de travail, utilisée dans les vignes, car elle est fine et peut se faufiler entre les rangs.  Le vigneron la bichonnait, la nourrissait à l’auge, puis les tracteurs sont arrivés … Aujourd’hui cette production est presque abandonnée, car peu valorisée par les bouchers qui lui préfèrent la Blonde d’Aquitaine, plus rentable. Bérénice m’a contacté pour me remercier d’avoir défendu la vache bazadaise à la télévision. Cette jeune agricultrice élève de la Bazadaise à l’ancienne, dans le pur respect de la tradition.

« C’est un vrai boucher, il ne fait pas que vendre des morceaux de viande, il travaille la matière première qu’on lui produit. On est complémentaires, on échange beaucoup, sur les animaux, la viande et sur tout ce qui va autour. »
B.W

 

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